Je suis Malick Bangoura, Architecte HMONP. J’habite à Versailles (France). Après l’architecture, ma grande passion c’est le basket Ball ( NBA, Lakers Los Angeles), la cuisine, les voyages, le cinéma et les bandes dessinées.
Mon parcours
Avec un baccalauréat Sciences Maths obtenu en 2004 au sein du Groupe scolaire «LAVOISIER» ex-Notre Dame de Dixinn, j’ai fait mes premiers pas en 2005 à l’université dans celle de Labé, Faculté « Maths informatique ». Ensuite j'ai fait mes études à l’école nationale supérieure d’architecture de Versailles. En Juin 2011, j’obtiens mon diplôme avec mention bien et la félicitation du jury. J’ai effectué plusieurs stages dans différentes agences d’architecture parisiennes, qui m’ont permis d’acquérir de multiples expériences professionnelles. Je travaille actuellement au sein de la société ERTIM Architectes S.A. à Paris.
Ma petite histoire avec EduCetera
C’est Thierno Sadou Diallo, actuel responsable de la trésorerie de l’association, qui m’a fait connaître cette nouvelle association des guinéens et m’incitant d’y adhérer. J’ai assisté à la première réunion de présentation à Paris, et vraisemblablement j’ai été séduit par la démarche et l’exploit des deux fondateurs sur le terrain. Et ayant passé toute ma scolarité pré universitaire et une année de faculté en Guinée, j’ai jugé nécessaire d’adhérer à cette association pour contribuer à ma manière à l’amélioration du système éducatif guinéen. C’est ainsi que j’ai été nommé responsable du domaine Arts et Métiers de l’association.
Mon rôle dans l’association EduCetera
Etant le responsable du domaine Arts et Métiers, selon les règles établies par la commission pédagogique d’Educetera, mon rôle est d’établir et de faire respecter la politique de formation de mon domaine. Et surtout de proposer des sujets et des matières à enseigner dans les établissements supérieurs Guinéens selon leurs besoins et le niveau d’étude des étudiants.
Ma vision de l’initiative EduCetera
Personnellement, je trouve cette initiative très bien et surtout d’actualité, c’est le minimum que chaque Guinéen peut faire pour notre cher pays. L’avenir de chaque pays dépend de l’éducation de sa jeunesse qui est la relève de demain. La Guinée a besoin de ses élites, de chacun d’entre nous pour se relever et se développer. Avec notre contribution, je reste convaincu que le système éducatif Guinéen peut devenir excellent et compétitif sur le plan national et international.